À Claude M
Mon ami cher, je pense à vous,
Présentement dans la détresse,
Privé de la douce allégresse,
Qui se répand un peu partout.
Il est difficile d'admettre
L'impuissance de la tendresse
Contre une force qui agresse,
Mais que la chance peut soumettre.
Les prières, les voeux fervents,
Contrairement à la croyance
Que nous propose l'espérance,
Semblent sans effets évidents.
Lors, je demeure silencieuse,
Ayant, dans l'attente, conclu
Que mes mots seraient superflus.
Du sort, je suis respectueuse.
26/12/2012
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