Si j'ai trop de choses à faire,
Ne sachant par où commencer,
Je m'assieds afin d'y penser
Mais aussitôt mon esprit erre.
Face au bleu de l'immensité,
La lumière me rend joyeuse
Et en même temps oublieuse.
Silence et immobilité.
Lors immergée dans l'innocence,
Que ne troublent pas des envies,
J'y reçois la douce énergie
Entretenant mon existence.
Le temps avance, peu m'en chaut.
«Rien ne presse, tout peut attendre.»
N'eus pas de mal à le comprendre.
Prudemment, je fais ce qu'il faut.
Les mêmes huit jours, chaque mois,
Me tire de mon indolence,
L'impérative providence
Qui me conduit loin de chez moi.
En circulant, je m'émerveille
Des richesses de la nature,
De ses inouïes créatures.
Mon goût de capter se réveille.
Vendredi 17 mars 2017
Commentaires
Et ainsi Être et Respecter.
Respectable.