Et que nous dirons-nous
Une fois bien passées les banalités d’usage
Une fois entrés
Dans la chair même de l’intime
Passée la peau nue
Lorsque n’ose se déshabiller l’âme
Au-delà de nos épidermes
Et que nous dirons-nous
Une fois bien passées les banalités d’usage
Une fois entrés
Dans la chair même de l’intime
Passée la peau nue
Lorsque n’ose se déshabiller l’âme
Au-delà de nos épidermes
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Commentaires
Laisser du temps au temps...
Merci Lilianne
Rien à ajouter...juste à saisir l'instant présent.